"Todo en mi vida es francés últimamente" Agustí Garcia |
23 de noviembre de 2014
15 de marzo de 2014
"La Mala digestión" Texto de Thierry Job
Érotisme exagéré, agitation, bizarrerie, dramatisme, stress, vanité, sautes d’humeur, égocentrisme, névrose, vices, manies, insomnie, tristesse, palpitations, anémie, sang impur...
On pourrait énumérer pendant des heures les thèmes abordés par le mystérieux Docteur Vander dans ses nombreuses publications.
Les planches illustrées d’organes, la description de symptômes tant physiques que psychiques oscillent entre un effort de vulgarisation et une représentation graphique très crue totalement surréaliste souvent.
Il est habituel chez les artistes de réinterpréter l’œuvre d’un autre peintre (Picasso et les Menines) ou de se glisser dans un univers particulier et de l’adapter au leur (Warhol, Lichtenstein et la culture de masse américaine ou Jim Shaw se basant sur l’iconographie des born again christian ou autres sectes religieuses).
Dans le cas présent, Agusti a rencontré le Dr Vander. Ses peintures antérieures distillaient déjà des messages et des aphorismes qu’il collectionnait comme d’autres collectionnent des timbres ou des papillons.Le tout annoté en un petit carnet ... il continue à le faire.
Avec Vander tout est dit, il ne reste qu’à peindre, le Bien et le Mal, ce que nous faisons et ce que nous devrions faire, ce que nous sommes et ce que nous pourrions être.
Agusti peint les conseils du Dr. Vander avec les mains tatouées de Robert Mitchum dans “la nuit du chasseur” : Love & Hate”.Veni, Vidi, Vici, proclament les Vanderboys sous l’effigie d’un jeune couple heureusement marié, que nous supposons suivre à la lettre les consignes du Dr. Vander : modération dans le mariage . Mais rapidement nous notons le détail d’un des “boys “ arborant une plume dans les cheveux ... c’est le grain de sable dans le décor. Il y a une faille dans le bonheur, le vernis craquèle.
Il y a les putes et les bonnes épouses, mais tout peut se soigner, même les brûlures avec des rondelles de pomme de terre !Tous les troubles ont leur remède.
Question : la peinture est elle une solution aux troubles d’Agusti ?
Le jour où on écrira sur Cha-Cha ( the Original) on pourrait y mettre en sous titre “Agusti à Barcelone”, c’est son aventure dans sa ville où il a participé avec beaucoup d’autres à donner cette image de Barcelone reconnaissable dans le monde entier.
Inventeur du “made in Barcelona”, Cha-Chá is different !
Des architectes, des écrivains, des poètes, des designers, des couturiers, des peintres, des sculpteurs, des amis ont travaillé pour Cha-Cha en utilisant l’humour, le politiquement incorrect, l’insolence, le populaire pour créer des objets sympathiques, originaux, drôles et poétiques.
Cha-Cha est sa première œuvre. La seconde sera son “bad painting” où il lèvera enfin le voile sur ses obsessions (troubles) d’artiste.Ce qui me fait sourire car combien de fois ai je du entendre (supporter) le discours qu’il ne voulait plus travailler avec des artistes (des emmerdeurs) etc. Surtout à ne pas prendre au sérieux, Cécilia, sa femme est artiste et leur maison est pleine d’œuvres d’art, d’art populaire, de design, de livres et - détail important - on y mange très bien aussi.
En conclusion et pour paraphraser le bon docteur Vander : sa peinture (et sa vie) illustre les caractéristiques qui se mélangent fréquemment chez les artistes, qui révèlent souvent des troubles qu’il est possible de soigner.
Espérons qu’Agusti ne trouve jamais une cure à ses troubles.
Thierry Job. Février 2012.
On pourrait énumérer pendant des heures les thèmes abordés par le mystérieux Docteur Vander dans ses nombreuses publications.
Les planches illustrées d’organes, la description de symptômes tant physiques que psychiques oscillent entre un effort de vulgarisation et une représentation graphique très crue totalement surréaliste souvent.
Il est habituel chez les artistes de réinterpréter l’œuvre d’un autre peintre (Picasso et les Menines) ou de se glisser dans un univers particulier et de l’adapter au leur (Warhol, Lichtenstein et la culture de masse américaine ou Jim Shaw se basant sur l’iconographie des born again christian ou autres sectes religieuses).
Dans le cas présent, Agusti a rencontré le Dr Vander. Ses peintures antérieures distillaient déjà des messages et des aphorismes qu’il collectionnait comme d’autres collectionnent des timbres ou des papillons.Le tout annoté en un petit carnet ... il continue à le faire.
Avec Vander tout est dit, il ne reste qu’à peindre, le Bien et le Mal, ce que nous faisons et ce que nous devrions faire, ce que nous sommes et ce que nous pourrions être.
Agusti peint les conseils du Dr. Vander avec les mains tatouées de Robert Mitchum dans “la nuit du chasseur” : Love & Hate”.Veni, Vidi, Vici, proclament les Vanderboys sous l’effigie d’un jeune couple heureusement marié, que nous supposons suivre à la lettre les consignes du Dr. Vander : modération dans le mariage . Mais rapidement nous notons le détail d’un des “boys “ arborant une plume dans les cheveux ... c’est le grain de sable dans le décor. Il y a une faille dans le bonheur, le vernis craquèle.
Il y a les putes et les bonnes épouses, mais tout peut se soigner, même les brûlures avec des rondelles de pomme de terre !Tous les troubles ont leur remède.
Question : la peinture est elle une solution aux troubles d’Agusti ?
Le jour où on écrira sur Cha-Cha ( the Original) on pourrait y mettre en sous titre “Agusti à Barcelone”, c’est son aventure dans sa ville où il a participé avec beaucoup d’autres à donner cette image de Barcelone reconnaissable dans le monde entier.
Inventeur du “made in Barcelona”, Cha-Chá is different !
Des architectes, des écrivains, des poètes, des designers, des couturiers, des peintres, des sculpteurs, des amis ont travaillé pour Cha-Cha en utilisant l’humour, le politiquement incorrect, l’insolence, le populaire pour créer des objets sympathiques, originaux, drôles et poétiques.
Cha-Cha est sa première œuvre. La seconde sera son “bad painting” où il lèvera enfin le voile sur ses obsessions (troubles) d’artiste.Ce qui me fait sourire car combien de fois ai je du entendre (supporter) le discours qu’il ne voulait plus travailler avec des artistes (des emmerdeurs) etc. Surtout à ne pas prendre au sérieux, Cécilia, sa femme est artiste et leur maison est pleine d’œuvres d’art, d’art populaire, de design, de livres et - détail important - on y mange très bien aussi.
En conclusion et pour paraphraser le bon docteur Vander : sa peinture (et sa vie) illustre les caractéristiques qui se mélangent fréquemment chez les artistes, qui révèlent souvent des troubles qu’il est possible de soigner.
Espérons qu’Agusti ne trouve jamais une cure à ses troubles.
Thierry Job. Février 2012.
LA MALA DIGESTION en la MAUVAISE RÉPUTATION - BORDEAUX
LA MALA DIGESTION
Une exposition d’Agustí Garcia Monfort.
Du 15 mars au 26 avril 2014
par Florence BEAUGIER,
Agustí Garcia Monfort est né en 1960 à Barcelone. Catalan et Barcelonais pure souche, il vit et travaille encore aujourd’hui dans sa ville natale.
Agustí est graphiste, designer et artiste plasticien. Il est le fondateur et le dirigeant de l’entreprise Cha-Cha, au sein de laquelle, en association avec des architectes, des écrivains, des poètes, des designers, des couturiers, des peintres, des sculpteurs, il produit et édite des objets originaux, drôles, sympathiques et poétiques.
Cha-Cha diffuse partout dans le monde une image originale et des objets populaires "made in Barcelone", issus d’un univers politiquement incorrect, décalé, délicieusement insolent, bref, "Cha-Cha is different !".
Mais, Agustí Garcia a un alter ego, le très étrange et mystérieux Docteur Vander. C’est en enquêtant sur le personnage que nous avons trouvé des traces du phénomène dès les années 1920 et ce, à travers nombre de publications qui ne seront pas censurées par la suite par le régime franquiste. Nous citerons pour exemple les trois énormes tomes de "Médicina Natural", ou encore les divers ouvrages dans lesquels le Docteur Vander prodigue conseils et prescriptions médicales. Notons au passage que ces dernières sont toujours relativement curieuses, excentriques, décalées dirons nous.
C’est dans cet esprit, celui d’une iconographie médicale à la fois populaire et fantasmagorique, que s’inscrivent les peintures et les sculptures d’Agustí. Religiosité, érotisme, vanité, angoisses, égocentrisme, sang impur, palpitations, tristesse, agitation, maladies réelles ou imaginaires les différents thèmes qu’aborde Agustí Garcia Monfort à travers le personnage du Dr Vander, sont multiples.
Pour son exposition à la Mauvaise Réputation, le Docteur Vander propose une série de peintures et de sculptures aux fils desquelles il dispense ses conseils sur : les problèmes digestifs !
Entre art brut et art populaire, vous découvrirez des scénettes aux traits crus et aux couleurs vives, d’abracadabrantes planches d’organes illustrées, des descriptions farfelues, bizarres et déroutantes de symptômes tant physiques que psychiques. Si vous écoutez ses conseils, tous les troubles ont leurs remèdes ! Tous ! Sans exception ! Impensable ! Extravagant ! Fou ! Absurde ! Rocambolesque ! Oui, mais drôle !
Les tableaux et les sculptures du Docteur Vander sont captivants, tout à la fois d’ici et d’ailleurs, références à l’iconographie populaire mexicaine, américaine, roumaine, africaine, etc... Mais, on peut dire aussi de ses œuvres qu’elles sont à la fois d’aujourd’hui, d’hier, voir de demain. Bref, Le Docteur Vander nous ouvre les portes d’un pays d’une frappante fantasmagorie, celle d’un imaginaire universel et intemporel.
Une sélection des objets Cha-Cha est à découvrir à Lulared, en face de la Mauvaise Réputation, dans la boutique du designer artiste et dépositaire de la marque Thierry Job.
19 de octubre de 2013
"Fan Club" exposición colectiva en LE MIAM - Musée International des Arts Modestes - Sète France
FanClub
19 octobre 2013 - 16 mars 2014
19 octobre 2013 - 16 mars 2014
Rassemblant les oeuvres d’artistes bruts, outsiders, contemporains ou d’illustres anonymes,
l’exposition FanClub explore l’univers des fans de musiques rythmées, interrogeant leur rapport
profane aux icones pop et aux supports musicaux en constante évolution.
Après les succès de Kitsch Catch et Sur le Fil (MFW Lille, MIAM de Sète, Musée de l’Objet de Blois, Oyonnax 2007-2010), les commissaires Pascal Saumade & Barnabé Mons lancés par Hervé Di Rosa proposent FanClub, une exposi- tion consacrée à l’univers tonitruant des musiques rythmées.
Au milieu du XXème siècle se développe en Occident une nouvelle culture qui s’adresse pour la première fois à des jeunes consomma- teurs et à leur argent de poche : basée sur un rythme binaire, quelques accords et une attitude moderniste, le Rock et la Pop vont conquérir le monde occidental.Le mouvement se révèle très vite identitaire, les amateurs semblent rechercher dans cette musique beaucoup plus qu’un simple divertissement : un nouveau mode de vie, de nouveaux modèles. La bonne parole est dispensée par des disques vinyles vendus par millions, des magazines, la télé ou la radio. Des stars émergent de ce nouveau paysage musical, portées par l’enthousiasme de clones anonymes : les fans, ces amateurs qui consomment et collectionnent des objets transitifs, interfaces magiques entre leur monde et celui des vedettes : disques, photos, badges, autographes, portraits... Les moins fortunés bricolent leur propre « merchandising » non manu- facturé : cahiers de coupures de presse, pochettes de disques faites à la main, blousons customisés, sacs de l’armée personnalisés ...
Dès la fin des années 1960, de nombreux plasticiens font écho de cette fascination quasi religieuse envers ceux que l’on nomme désormais les Idoles.
Rassemblant les œuvres d’artistes bruts, outsiders, contemporains ou d’illustres anonymes, FanClub explore l’univers et l’imagerie des fans de musiques rythmées, interrogeant leur rapport profane aux icônes pop et aux supports musicaux en constante évolution. Cette exposi- tion sera l’occasion d’un croisement de publics différenciés par l’âge, l’origine culturelle ou sociale, chacun détenant les codes de cette culture musicale exaltant les passions humaines.
2 de mayo de 2012
1 de abril de 2012
Exposición Dr.Vander in Glory Hole. Galeria Alegría
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Los abdominales
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Acrílico sobre tela.35x27cm.
Exposición "The Glory Hole" Texto de Thierry Job
DR. VANDER IN GLORY HOLE
Erotismo exagerado, agitación, rareza, teatralidad, stress, vanidad, cambios de humor, egocentrismo, neurosis, vicios, manías, insomnio, tristeza, palpitaciones, anemia, sangre impura...
Podríamos enumerar durante horas todos los temas abordados por el misterioso Dr. Vander en sus numerosas publicaciones.
Las láminas ilustradas de órganos, las descripciones de síntomas tanto físicos como psíquicos oscilan entre un esfuerzo de vulgarización y una representación gráfica cruda a veces totalmente surrealistas.
Es habitual entre los artistas reinterpretar obras de otros pintores, Picasso y las Meninas, Warhol y Lichtenstein con la cultura de masas americana, o J im Shaw basandose en las láminas de los
¡Agustí topó con el Dr. Vander!
Ya sus pinturas anteriores destilaban mensajes y aforismos que el coleccionaba como otros coleccionan sellos o mariposas. Todo apuntado en un libreta... sigue haciéndolo.
Con Vander, todo está dicho, solo queda pintar, el Bien y el Mal, lo que hacemos y lo que deberíamos hacer, lo que somos y lo que podríamos ser.
Agustí pinta los consejos de Vander con las manos tatuadas de Robert Mitchum en La noche del Cazador, Love & Hate.
Veni, Vidi, Vinci, proclaman los Vanderboys bajo la imagen de una pareja felizmente casada que suponemos sigue la consigna Vanderiana “moderación en el matrimonio”. Pero también notamos el detalle de un de los “boys” luciendo una pluma en el pelo.... es el granito de arena... Esta felicidad ya tiene un fallo, el barniz se agrieta.
Hay zorras y buenas esposas, pero todo tiene cura, incluso las quemaduras con patatas!
¡Trastornos que se pueden curar!
Pregunta: ¿es la pintura una solución al trastorno de Agustí?
El día que se publique un libro sobre Cha-Chá (the Original) podría tener como subtítulo “Agustí en Barcelona”: es su aventura en su ciudad donde el ha participado con muchos otros a dar esta imagen de Barcelona reconocible en el mundo entero.
Inventor del “made in Barcelona”, Cha-Chá is different.
30 años que Agustí creó Cha-Chá!
Arquitectos, escritores, poetas, diseñadores de moda, dibujantes, pintores, escultores, fotógrafos, encuentros, amigos, han creado para Cha-Chá utilizando el humor, lo políticamente incorrecto, la insolencia,lo popular, para crear unos objetos originales, simpáticos, divertidos y poéticos.
Cha-Chá es su primera obra. La segunda será su bad painting donde desvelará por fin sus obsesiones (trastornos) de artista.
Lo que me hace sonreír porque cuando tantas veces tuve que oír (aguantar) que no quiere trabajar más con artistas, unos ”pesados” etc,... nada que tomar en serio.... Cecilia, su mujer es artista, su casa esta llena de obras de arte, de arte popular, de libros, de diseño y donde (detalle importante) se come muy bien.
Para concluir y parafraseando Vander: su pintura (y su vida) ilustran las características que con frecuencia se mezclan en los artistas, y que en muchos casos revelan un trastorno que puede curarse.
¡Ojalá Agustí no encuentre ninguna cura a su trastorno!
Thierry Job. Febrero 2012.
12 de octubre de 2010
EL BUENO, EL MALO Y JOHN WAYNE
10 de diciembre de 2009
VI Becas Fundación Arena de las Artes Visuales 2009
Este es el cuadro que he presentado para las VI Becas Fundación Arena de las Artes Visuales 2009. La inauguración de la exposición y la entrega de premios será el próximo día 10 de diciembre a las 19.30h en la galería de arte Alonso Vidal.
C/Fontanella 13 Sótano (BCN)
9 de febrero de 2009
BAD PAINTING EN ART MADRID!
La galería Alonso Vidal tendrá una muestra de Bad Paintings en ART-MADRID!
Los encontraréis en el Stand D-18
17 de enero de 2009
BIOGRAFIA DIBUJADA - XI Edició del Premi a la Creativitat artística "Agustí de Semir-Conxa Millán" 2008
XI Edició del Premi a la Creativitat artística "Agustí de Semir-Conxa Millán" 2008
Como jurado de este concurso, me puse en la piel de los concursantes y hice también una biografia dibujada.
Como jurado de este concurso, me puse en la piel de los concursantes y hice también una biografia dibujada.
AUTORRETRATO
Técnica mixta 21x30 cm
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ÁRBOL GENEALÓGICO
Técnica mixta 21x30 cm
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MIS ZAPATOS PREFERIDOS
Técnica mixta 21x30 cm
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LO QUE VEO DESDE MI VENTANA
Técnica mixta 21x30 cm
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EL MEJOR REGALO QUE ME HAN HECHO
Técnica mixta 21x30 cm
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ASÍ ES COMO ME IMAGINO A DIOS
Técnica mixta 21x30 cm |
20 de noviembre de 2008
BAD PAINTINGS en el HIPERMERC'ART!!!
Este jueves se inaugura el Hipermec'art 2008! Allí se podrán encontrar Badpaintings a un precio muy especial!
Además este año la invitación es un Bad Painting!
14 de noviembre de 2008
"Vencido pero no acabado" Exposición en Piera
Texto de Pere Bosch Morera
L’Agustí García fa una pintura on es reivindiquen les ganes de pintar. De gaudir amb l’ofici (tan antic com la humanitat).
Ens mostra escenes carregades de missatges, en un ambient més gòtic que romànic.
Obres vives en l’esperit de l’art pop americà. Fan pensar en l’escola de l’Andy Warhol, Roy Lichenstein i d’altres, que per propers al còmic varen pintar molt.
Aquí a Catalunya els grans referents els podem buscar en Nazario i els seu còmics, o bé en l’Ocaña pintor. La vida dels anys 80 no es va extingir, encara porta cua i aquestes pintures en són una mostra. Això sí, són actuals!
Icones del segle XX ara (encara) són vives al segle XXI... Elvis Prelsley o el transvestisme televisiu.
Les frases en anglès i castellà són l’excés de contrasenyes que la publicitat ens ofereix. Embolicant la nostra cultura autòctona. Sense oblidar el sentiment que podem percebre, per exemple, de la petita senyera al fons de la cistella de pícnic.
És l’alegria del color i les formes lliures.
Composicions arriscades que fan els equilibris idèntics a la nostra vida social. No és ironia; és pura realitat.
Gairebé... Ni més ni menys.
Pere
Bosch Morera
Piera,
novembre de 2008
15 de marzo de 2008
19 de febrero de 2008
8 de febrero de 2008
7 de febrero de 2008
"Lo siento, a mí me gustan" texto de Ramón Úbeda para la exposición en la Galería Alonso Vidal
Lo siento, a mi me gustan
No se si Pepa me dejaría poner alguno de estos cuadros en casa. Prefiero no preguntárselo. Con esto de la pintura nos pasa lo mismo que con el cine. Lo que a ella le gusta resulta que a mi me da sueño. Y viceversa. De vez en cuando le intento colar alguna de las películas que me divierten, y lo permite, pero con lo del arte no tengo nada que rascar, porque la que de verdad entiende es ella. Si en una exposición discutimos discutimos sobre lo buena que es esta o aquella obra, siempre llevo las de perder. Si se trata de algo más trascendente como colgar un nuevo cuadro en casa, a propuesta mía, entonces no hay discusión posible y acabo huyendo como un cobarde porque mis argumentos para convencerla, hay que reconocerlo, suelen ser bastante primarios.
"Lo siento, a mi me gusta" es lo más que atino a decir. La sentencia o la súplica, según se entone, la adopté del título de un artículo que Josep Miquel Abad escribió hace muchos años en defensa de Cobi, cuando se presentaron los primeros bocetos de la mascota olímpica de Mariscal y todo el mundo la trinchó. Si se pronuncia con firmeza o al contrario, cual Calimero, la frase suele funcionar, porque por un momento le hace dudar o enternece al erudito. Claro que después hay que explicar porqué te gusta la pintura en cuestión, pero entonces es más sencillo porque de golpe nos trasladamos a un terreno más mundano. Y para gustos, los colores. Hay personas que prefieren una tortilla de patatas a una espuma de zanahoria de can Bulli y no tienen que justificarse por ello.
Esa actitud de Agustí, la soltura con que se quita el traje de empresario de Cha Chá para ponerse el de artista sin tener que justificarse, es de entrada lo que más me admira. Después, si hay que entrar en detalles, me gusta ese punto icónico y de macarra saleroso que tiene su obra porque recuerda aquello que llamaban underground, pero con la ternura que transmiten los exvotos mexicanos. Ahora que me he soltado, me atreviría a decirle a Pepa que me gusta también que los cuadros tengan textos o subtítulos, como esas películas en versión original que de vez en cuando me obliga a ver, porque así me entero más fácilmente de lo que explican. Las llaman "arte y ensayo" y deduzco que es literalmente lo que hace Agustí, le aprieta la vena artística y no duda en ponerla en práctica.
"Me marcho, este no es mi ambiente" en la Galería Alonso Vidal
"Me marcho, este no es mi ambiente", la exposición de Agustí Garcia
"Somos lo que recordamos" 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 41x32cm |
"Fuck you Lucky Luke" 2007. Acrílico tela. 130x60cm |
"Pete the plumber" 2007. Acrílico sobre tela. 130x60cm |
"Llevo toda mi vida estando a dieta" 2006. Acrílico sobre tela. 41x33cm |
"Le art trouver" 2006. Acrílico sobre tela. 41x33cm |
"Innovate or die..." 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 41x32cm |
"Ocúpate de ti mismo" 2006. Acrílico sobre cartón entelado. 34x42cm |
"Frigo II" 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 49x35cm |
"De mayor quiero ser baronesa" 2006. Acrílico sobre cartón entelado. 42x34cm |
"Au naturel" 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 34x42cm |
"Yo me quiero casar...¿Y usted?" 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 48x34cm |
"Audaz y brillante" 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 41x32cm |
"Divino" 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 43x35cm |
"Olvidarás lo olvidable" 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 35x43cm |
"La verguenza es una especie de exhibicionismo" 2006. Acrílico sobre cartón entelado. 49x35cm |
"Al que hace de oveja se lo come el lobo" 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 40x30,5cm |
"Una leyenda en casa" 2006. Acrílico sobre cartón entelado. 41x32cm |
"Eres lo que buscas" 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 40x30,5cm |
"La derrota es siempre pasajera" 2006. Acrílico sobre cartón entelado. 34x42cm |
"¿En tomate o en aceite?" 2006. Acrílico sobre cartón entelado. 40x30,5cm |
"No hay tiempo para más" 2006. Acrílico sobre cartón entelado. 42x34cm |
"Sólo hago lo que me dicta el corazón" 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 34x42cm |
"Tenía que pasar" 2007. Acrílico sobre cartón entelado. 42x34cm |
"El pasado está remuerto" 2006. Acrílico sobre cartón entelado. 42x34cm |
"¿Cómo puedo ser humilde siendo tan grande?" 2006. Acrílico sobre madera. 132x75cm |
"You can cry... say goodbye..." 2007. Acrílico sobre tela. 130x100cm |
"Ni se te ocurra" 2007. Acrílico sobre tela. 115x90cm |
"Street dreams" 2007. Acrílico sobre tela. 115x90cm |
"Love me tender" 2007. Acrílico sobre tela. |
"¿Qué haría Dios en esta situación?" 2006. Acrílico sobre madera. 99x72,5cm |
"Me marcho, este no es mi ambiente" 2006. Acrílico sobre madera. 99x72,5cm |
"Hay cosas que son fáciles de adivinar" 2007. Acrílico sobre tela. |
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